L’écriture, c’est pour tous !
Oser écrire pour vous amuser, créer, raconter, transmettre, partager, penser …. Tel est le projet des ateliers qui vous seront proposés à la rentrée dès la fin du mois de septembre.
L’offre est variée, en journée, en soirée, le samedi : inventer une histoire, écrire ses engagements, laisser empreinte de son voyage, questionner l’idée de l’étranger, s’autoriser à écrire, quelques suggestions pour vos envies d’écrire !
Des temps d’écriture et de temps de lecture, des moments d’échanges et de débats, autant d’espaces de plaisir et de curiosité à expérimenter ensemble. D’intérêt pour découvrir la diversité des écritures et des sujets abordés.
Des collectifs d’écriture pour tous, pour vous accompagner dans vos envies d’écrire.
A votre disposition pour en savoir davantage sur nos ateliers 2016/2017
Il ne s’agit pas d’un exercice de littérature ou d’orthographe. L’écriture est ici avant tout un outil d’expression au même titre que la peinture ou le dessin… La notion de plaisir de l’expression l’emporte sur celle de la rhétorique.
L’atelier est composé de deux temps principaux :
Une multitude de rendez-vous artistiques et participatifs gratuits dans l’espace public du 21 juin au 1er septembre 2016.
Près de 300 manifestations (balades, ciné en plein air, concerts, initiations à la danse, lectures, spectacles, séances de sport...) sont organisées tous les jours de l’été, sur 90 lieux différents !
Tout le programme : http://www.lyon.fr/page/tlmd.html
Il aura fallu le déclenchement de la révolution du Jasmin, en Tunisie, pour que la narratrice se décide à écrire sur sa mère. Elle revient sur ce printemps 2007, quand, au chevet de sa maman malade, elle n'a qu'une envie : percer l'énigme de cette femme rétive aux confidences et à la tendresse. S'engage une enquête qui a tout de la chasse au trésor... où l'on apprend que la vie de Yamna était loin de ce qu'en imaginaient ses enfants.
« Fawzia Zouari nous livre un récit familial extraordinaire, shakespearien dans sa trame, son ampleur et son style, dont on ne sort pas indemne. Le lecteur en est averti, le vertige le saisira dès les premières pages, il ne pourra échapper au désir, plein de risques, de tourner son regard sur lui-même et de s'interroger sur l’histoire de sa propre famille. Il lira le récit de Fawzia Zouari autant qu’il fouillera en lui, et de cette mise en parallèle sourdra un irrépressible malaise. » Boualem Sansal